Surveillance

Surveillance — an artists’ book — considers our privacy and freedom in a social and democratic world by utilizing the incredibly overwhelming surveillance cameras tracking us worldwide. Who’s watching?

Through the collection of security warnings, the artist seeks to invite complex questions about how freedom and privacy are currently defined in our lives. Is privacy a thing of the past? The many databases contain the movements of millions of people. Who’s filming? What databases are we part of? Cameras monitoring and identifying people are becoming more invasive with facial recognition software. What’s the usage of these images?

An artists’ book is an intimate ritual experience, but Surveillance, when read in private, communicates a disquieting trend. Are we private anywhere with cameras on streets, buildings, and lamp posts...? CCTV (closed-circuit television) is the bane of mass surveillance, eroding intellectual freedom and deconstructing our society's social fabric.

The concept of Surveillance developed as the artist photographed many security warning signs while traveling across the country. From entering a bank to shopping and ultimately crossing the border amplified the distinct feeling of being watched. Cameras, small and large, capture data everywhere we roam. This available data is typically collected without our knowledge or consent. Through built-in backdoors, security agencies can tune in to our phone calls, read our messages, capture our photos, look through our emails, steal our files … Anywhere, 24/7!

  • Aspen and Lasal Matte Rag paper with an Epson Stylus Photo R3000

  • hardcover binding with black Canapetta book cloth

  • tunnel book format

  • edition of 8 copies

  • signed and numbered

  • Five pages

  • 7 x 5.25 x 1.5 inches (18 x 13 x 4cm)

  • electronics by Natalie Freed and Thomas Parker Williams

  • laser cutting by Sarah Pike from FreeFall-Laser

  • magnets, fake security dome camera with flashing red LED light

Surveillance – un livre d’artiste – considère notre vie privée et notre liberté dans un monde social et démocratique en utilisant des caméras de surveillance incroyablement accablantes qui nous suivent dans le monde entier. Qui regarde?

À travers la collection d'avertissements de sécurité, l'artiste cherche à susciter des questions complexes sur la façon dont la liberté et la vie privée sont actuellement définies dans nos vies. La vie privée appartient-elle au passé ? Les nombreuses bases de données contiennent les mouvements de millions de personnes. Qui filme ? De quelles bases de données faisons-nous partie ? Les caméras surveillant et identifiant les personnes deviennent de plus en plus invasives avec les logiciels de reconnaissance faciale. A quoi servent ces images ?

Un livre d’artiste est une expérience rituelle intime, mais Surveillance, lu en privé, communique une tendance inquiétante. Sommes-nous privés n'importe où avec des caméras dans les rues, les bâtiments et les lampadaires... ? La vidéosurveillance (télévision en circuit fermé) est le fléau de la surveillance de masse, érodant la liberté intellectuelle et qui déconstruit le tissu social de notre société.

Le concept de surveillance s'est développé lorsque l'artiste a photographié de nombreux panneaux d'avertissement de sécurité lors de ses voyages à travers le pays. De l’entrée dans une banque aux achats et finalement au passage de la frontière, a amplifié le sentiment distinct d'être observé. Les caméras, petites et grandes, capturent des données partout où nous nous trouvons. Ces données disponibles sont généralement collectées à notre insu et sans notre consentement. Grâce à des portes dérobées intégrées, les agences de sécurité peuvent écouter nos appels téléphoniques, lire nos messages, capturer nos photos, parcourir nos e-mails, voler nos fichiers… N'importe où, 24 heures sur 24, sept jours sur sept !

  • impressions jet d'encre sur papier papier Aspen et Lasal mat tirées avec l’imprimante Epson Stylus Photo R3000

  • cinq pages logées dans une reliure rigide avec toile Canapetta noire passé en carton

  • format - livre de tunnel

  • édité en 8 exemplaires, signés et numérotés

  • 18 cm x 13 cm x 4 cm

  • l’électronique par Natalie Freed et Thomas Parker Williams

  • la découpe au laser par Sarah Pike de FreeFall-Laser

  • des aimants, une fausse caméra à dôme de sécurité avec lumière LED d’activation